Hill.TV : Les États-Unis envisagent l’hypothèse extraterrestre

Hill.TV : Expert en ovnis : un ancien chef de gouvernement confirme que les États-Unis envisagent l’hypothèse extraterrestre

Introduction

Rising est une émission matinale diffusée tous les jours de la semaine, avec des animateurs bipartites, qui brise le moule de la télévision matinale en emmenant les téléspectateurs dans les couloirs du pouvoir de Washington comme jamais auparavant. L’émission se penche sur le cycle politique du jour avec des analyses pointues de spécialistes de Washington qui peuvent prédire ce qui va se passer. Elle définit également l’agenda politique du jour en dévoilant des informations exclusives avec une équipe de reporters à l’affût des scoops et en exigeant des réponses lors d’interviews avec les plus grands décideurs politiques du pays.

Tom Rogan (né le 8 février 1986) est un journaliste politique, et auteur à succès, basé à Washington, D.C.

Bien qu’il ait grandi au Royaume-Uni, sa carrière politique a débuté aux États-Unis lorsqu’il a travaillé comme stagiaire à Washington, D.C., pendant la campagne présidentielle américaine de 2004. Il a également travaillé pendant une courte période pour un membre du Parlement britannique, Humfrey Malins, en 2005.

Il a contribué à des organismes de presse, notamment The Week, The Spectator, The Weekly Standard, Reuters, The American Spectator, The Daily Caller, Fox News, The Washington Times, USA Today, CNN, The Christian Science Monitor, The Atlantic, The Commentator, The Telegraph, The Guardian et The Huffington Post. Il est chroniqueur pour National Review et Opportunity Lives. En 2014, il a commencé à faire des apparitions de plus en plus fréquentes à la télévision en tant que commentateur sur des organes d’information tels que Fox News et CNN. Spécialiste de la politique du Moyen-Orient et de la politique étrangère américaine, il a figuré régulièrement en tant que commentateur sur divers organes d’information pendant le soulèvement initial d’ISIS en 2014, faisant occasionnellement plusieurs apparitions télévisées par jour.

Traduction

L’ancien chef de l’enquête du pentagone sur les objets volants non identifiés Luis Elizondo a confirmé au Washington Examiner que le gouvernement américain se demande si les OVNI sont ou ne sont pas d’origine terrestre.

Elizondo a récemment déclaré que ces objets volants sont extraterrestres ou extra dimensionnels, ou la création d’une intelligence terrestre inconnue de la société humaine.

Nous avons les commentaires de l’écrivain au Washington Examiner Tom Rogan qui nous rejoint pour en discuter :

Tom, qu’en pensez-vous ? Sont-ils extra-terrestres ou inters dimensionnels. Lequel des deux ?

Tom Rogan : On ne sait pas, mais le fait est que c’est une question légitime qui mérite des réponses, la recherche de réponses plutôt que le mépris ou les stigmates, je pense que ça montre bien l’importance de cette question à la fois en en termes d’implications sécuritaires, mais aussi des questions philosophiques plus larges, donc la légitimité de la question en soi, je pense que c’est une frappante une évolution frappante par rapport à ce que nous avons connu le passé.

La journaliste : Oui, donc Tom, ce rapport est vraiment très important à mon avis parce que vous savez Luis Elizondo est venu et a parlé de ce genre de choses, mais votre confirmation à vous est que c’est quelque chose sur lequel le gouvernement enquête activement, quelque chose que les gens soupçonnaient en quelque sorte, mais avoir une confirmation de la part l’homme qui est l’ancien chef du programme du Pentagone qui étudiait cela est majeure.

Dans votre interview avec lui, il pense que les chances que la probabilité que ce soit une sorte de programme militaire humain est infinitésimalement faible, comme que cela vienne des États-Unis, de la Chine ou de la Russie, alors ma question est la suivante pourquoi faire confiance à Luis Elizondo, il vient du Pentagone, c’est une opération d’information, pourquoi les gens ne devraient pas penser que cette information est divulguées de manière sélective, confirmées sélectivement et qu’ensuite Elizondo fait en quelque sorte des apparitions sélectives dans la presse ? (Note : Que Luis Elizondo fasse de la désinformation officielle pour une raison inconnue). Vous avez couvert cette affaire depuis très longtemps pourquoi ce scepticisme est-il injustifié ?

Tom Rogan : Eh bien, je pense que la première raison est que il y a un nombre considérable d’autres personnes, dont certaines travaillent encore sur le question, qui diront la même chose, et qui m’ont dit la même chose.

Je pense que la clé chez Elizondo est qu’il a eu le courage d’aller sur le plateau et de le dire publiquement, mais il n’est pas gagné par lui-même, il reflète une gamme plus large d’officiels, d’experts, pour ainsi dire, du gouvernement qui sont arrivés à la même conclusion.

Je pense aussi je pense qu’il est important de noter que quand nous parlons ici de certains de ces OVNIs, comme la Navy en 2004, le tic-tac auxquels les gens ont prêté attention, serait l’un d’entre eux, mais il y en a d’autres, ceux-là sont d’une catégorie spéciale…

C’est vrai que ce ne sont pas tous des OVNI, pas tous… les OVNI que la Navy a vu font partie de cette catégorie, mais certains sont susceptibles s’avérer être des ballons météorologiques mal identifiés ou peut-être… chinois et russes vous savez, des plateformes de détection qu’ils ont lancées depuis des cargos, et le site web The Drive a fait un très bon article qui examine cette possibilité.

Cette qualité spéciale, où nous voyons l’accélération instantanée, l’hypersonique, les voyages transmédias, c’est-à-dire espace, air et mer, des centaines de nœuds sous l’eau, aucune source de propulsion conventionnelle, des forces g qui s’élève au-delà de notre compréhension, de la physique contemporaine, jusqu’à 700 G.

Cette catégorie de UAP où vous avez les deux pilotes qui le voient et l’enregistrent sur leurs caméras de tir qui sont sous les avions à réaction.

Les croiseurs AEGIS, qui ont des systèmes radar très avancés, les sous-marins, les satellites captent tous la même chose dans le même espace et au même moment, alors vous avez beaucoup de données pour dire « OK, ceci est une classe spéciale de choses ».

Et ce que ce quelque chose est encore une fois, comme vous l’avez suggéré, est encore à définir.

Le journaliste : Vous savez, c’est tout à fait vrai, Tom, quand on regarde certaines de ces vidéos, la classe spéciale de vidéos comme vous dites, ces choses bougent par des moyens non conventionnels et nous n’avons aucune idée pour expliquer comment elles font réellement ce qu’elles font.

Alors quelle autre explication pourrait-il y avoir, car il ne nous est pas possible que puissions construire des choses qui font ça, alors qui a ces choses exactement ?

Je pense que l’une des choses remarquables est qu’Elizondo a en quelque sorte suggéré dans l’article, et que malheureusement ce n’est pas allé plus loin, c’est l’idée que les matériaux, les métamatériaux utilisés pour produire certaines de ces choses permettent un éventail différent de capacités techniques, du moins en théorie.

C’est vrai que si vous commencez à regarder certaines théories, la métallurgie et la physique théorique, vous entrez dans un domaine où peut-être vous vous pouvez commencer à expliquer ce genre de choses, mais l’essentiel, je pense, est que nous ne savons pas…Nous avons des théories, mais cela représente un domaine non conventionnel de la physique et la seule chose que je dis toujours, est essayons de trouver des ressources pour obtenir des réponses.

D’autre part, nous ne voulons pas que les Chinois et les Russes qui l’étudient et l’expérimentent aussi, le découvrent avant nous.

Deuxièmement, dans les caractéristiques techniques de ces engins, au moins dans les performances affichées, et indépendamment des questions philosophiques, d’origine et d’intention, la question de la capacité vous savez, est si importante. Pensez-y, si vous pouviez amener quelque chose d’un point A à un point B dans un laps de temps aussi court sans utiliser de carburant pour avion, vous savez, qu’est-ce que cela signifierait pour l’environnement en termes de monoxyde de carbone, ou simplement pour aller déjeuner à Londres ou à Paris, et être de retour en trois minutes.

Donc on ne sait pas on pas trop, et c’est encore une fois juste de la théorie bon marché, mais clairement, on veut savoir.

La journaliste : Donc une des choses qu’Elizondo a confirmé dans sa conversation avec vous, c’est que c’est une possibilité à considérer de la part du gouvernement américain que ceux-ci ne sont pas d’origine terrestre, et l’enquête continue activement de la part du gouvernement américain et du Pentagone.

Alors qu’est-ce qu’on sait des efforts russes et russes pour le même travail, pour enquêter activement sur ces phénomènes, et je veux dire qu’ils font ça depuis des années ?

Tom Rogan : Ouais, donc, le South China Morning Post, qui est un très bon média basé à Hong Kong, a fait un très bon article il y a quelques semaines sur la Chine, et comment les militaires Chinois utilisent des logiciels basés sur l’intelligence artificielle pour essayer de suivre et cataloguer ces choses, parce qu’ils ont, vous savez, le même genre d’expériences avec leurs pilotes.

On peut aussi supposer qu’ils les voient sur les sites nucléaires, parce que il y a une synergie entre les sites nucléaires et l’apparition de ces choses, mais les russes, depuis la guerre froide ont été intéressés par beaucoup de recherches, beaucoup plus que la marine américaine, pour voir ces choses sous l’eau, ou du moins les suivre, et vous savez, basé sur l’intérêt des russes pour ce qu’on pourrait appeler overmatch strategic, l’idée d’être capable de développer une capacité qui vous donne un avantage massif sur un adversaire.

Il serait logique qu’ils investissent là-dedans, je pense qu’ils ont aussi, vous savez, à cause de la tradition russe d’une sorte de gouvernement central séculaire, que peut-être les Russes ont eu plus de facilité en termes de bureaucratie gouvernementale dans le financement de ces choses, et ne s’inquiètent pas de certaines questions philosophiques autant que, disons les États-Unis.

Je pense que dans les années à venir, une des choses que nous apprendrons est à quel point l’armée de l’air américaine a pris des décisions malheureuses, parce que certains officiers supérieurs croyaient, euh vous savez, avaient une certaine égalité ou respect, car cela était peut-être un anathème pour les valeurs religieuses et culturelles américaines; je pense que c’est clairement pas le genre d’approche que les décideurs politiques doivent avoir, quand vous êtes confrontés à quelque chose qui pourrait être une menace, ou qui pourrait être quelque chose de non conventionnel.

Vous devez essayer de l’aborder.

La journaliste : Absolument Tom, merci beaucoup pour votre reportage, je vous le recommande vivement, si vous êtes intéressé, et même si ce n’est pas le cas, c’est un sujet tellement important, même si les médias ne veulent pas l’admettre, alors je vous recommande vivement de suivre le travail de Tom au Washington Examiner. Nous apprécions votre temps aujourd’hui, Monsieur.

Tom Rogan : Merci de m’avoir invité.

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